Mea Culpa (et spiritus sanctus, Amen)
Internet est une maîtresse capricieuse et infidèle, qui délaisse ma garçonnière depuis des semaines. La vilaine. D'où l'état de délabrement lamentable de ce blog minable ("roooh, mais non, mais pas du tout, mais que va-t-il penser là, c'est un chef-d'oeuvre intemporel que ce site, les Rougon-Macquart du monde virtuel, la Comédie Humaine du web, le Château des Oliviers du XXIème siècle, le Jalna des temps modernes", etc., etc.).
Mais ô miracle, à l'instant même où vous désespérâtes, gens de peu de foi, je m'en reviens d'entre les trépassés de la Corbeille à papier Windows XP pour vous latter et vous relater mes aventures et mésaventures et mes avants t'eurent Aymé Zavan-Tür.
Où c'que nous en étions-nous?
Ci-dessus : Bob le Bricoleur a failli s'impatienter... (rencontré à Meadowhall, incontestablement un des moments les plus poignants de ma vie. Plus que Oui-Oui et Denver et le compte est bon, 8 lettres, pas mieux.)